2 juillet 2021. Quarts de finale de l’Euro 2020. Belgique – Italie : le match qui est devenu le point d’orgue du tournoi. Bien que la légende du football belge, Thierry Henry, ne soit plus sur le terrain, il reste un élément clé du staff de l’équipe nationale belge. En 2021, il réintègre l’équipe d’entraîneurs de Roberto Martinez en tant que mentor des attaquants, soulignant ainsi son importance pour l’équipe. L’équipe nationale belge, surnommée les « Diables Rouges », était alors l’une des meilleures équipes du monde. Henry, fort de sa vaste expérience et de sa connaissance du jeu, est devenu un assistant indispensable pour les jeunes talents tels que Kevin De Bruyne et Romelu Lukaku. Ses conseils ont aidé les joueurs non seulement à l’entraînement, mais aussi en match, lorsqu’ils devaient prendre des décisions rapides sous pression.
Le match contre l’Italie a été un véritable test pour les deux équipes. Les Italiens, réputés pour leur tactique défensive et leur maîtrise du jeu, ont fait preuve d’une excellente organisation et d’une discipline remarquable. La Belgique, quant à elle, a misé sur sa puissance offensive et sa créativité. La tactique développée par Martinez, dans laquelle Henry a joué un rôle clé, a joué un rôle clé dans cette confrontation. En première mi-temps, les deux équipes se sont échangées plusieurs occasions dangereuses. Les Italiens ont fait preuve d’agressivité et sont rapidement passés à l’attaque, utilisant les ailes. La Belgique, quant à elle, a tenté de contrôler le ballon et de se créer des occasions dangereuses grâce à des combinaisons au centre du terrain. Henry a surveillé de près les actions de ses joueurs, ajustant la tactique au fur et à mesure.
En seconde période, le match est devenu encore plus tendu. La Belgique, forte de ses qualités individuelles, a finalement réussi à ouvrir le score grâce à une excellente combinaison, notamment grâce à une passe précise de De Bruyne à Lukaku. Cependant, les Italiens n’ont pas lâché prise. Ils ont immédiatement réagi, orientant le jeu vers une approche plus offensive. À la fin du temps réglementaire, le score était toujours à égalité et les équipes ont dû disputer la prolongation. La tension montait et chaque instant pouvait être décisif. Henry, en stratège expérimenté, a inspiré les joueurs, leur rappelant l’importance du travail d’équipe. Ses mots : « Le plus important n’est pas seulement l’action individuelle, mais aussi le travail d’équipe » sont devenus la devise de l’équipe. Malheureusement, le coup de sifflet final a sonné le match nul et le match s’est terminé aux tirs au but. C’est à ce moment-là que toutes les compétences, l’entraînement et les stratégies ont dû être mis à l’épreuve dans la bataille décisive. Les Italiens, souvent plus expérimentés dans ce genre de situations, ont fait preuve de sang-froid, tandis que les Belges étaient sous pression.
Pendant que les joueurs se préparaient pour le penalty, Henry est resté proche, les soutenant et leur rappelant l’importance de garder leur calme. C’est à ce moment-là que son expérience et sa connaissance du jeu ont aidé l’équipe à gérer ses émotions. Cependant, malgré tous leurs efforts, la Belgique a perdu cette confrontation tendue et dramatique. Le match contre l’Italie n’a pas seulement été un test pour l’équipe, mais aussi une étape importante dans la carrière d’entraîneur d’Henry. Il a compris que son rôle n’était pas seulement de transmettre des compétences techniques, mais aussi de développer la résilience mentale des joueurs. Ce match a profondément marqué la mémoire des supporters et des joueurs, devenant un symbole de la combativité et de l’esprit d’équipe. Après le tournoi, Henry a continué à travailler au sein du staff, réalisant que sa contribution au développement de l’équipe était inestimable.
Le match débute avec une intensité incroyable. L’Italie domine l’axe, mais la Belgique ne baisse pas les bras. Henry est très actif sur la ligne de touche : il parle à Martinez, appelle Lukaku pendant les pauses et dispense des conseils tactiques. Sa passion et son implication sont perceptibles par tous les spectateurs. L’importance de chaque instant ne laisse aucune place au relâchement : la moindre erreur peut être fatale. Les Italiens, dotés d’une excellente préparation tactique, commencent à contrôler le ballon. Leurs joueurs évoluent avec assurance sur le terrain, utilisant chaque centimètre pour créer des espaces offensifs. La défense belge est confrontée à une tâche difficile, mais sous la direction d’Henry, elle tente de garder une longueur d’avance.
À la 15e minute, les Italiens créent leur première occasion dangereuse. L’attaquant, après avoir battu le défenseur, tire, mais le gardien belge, Thibaut Courtois, démontre son talent en parant le ballon. Sur le banc de touche, Henry ne retient pas son émotion : il encourage ses joueurs et leur demande de se concentrer davantage. La tension monte de minute en minute. La Belgique commence à trouver ses occasions. De Bruyne, après avoir reçu le ballon au centre du terrain, adresse une passe pénétrante à Lukaku, qui tente de tromper le défenseur. Henry observe les mouvements de son attaquant et lui conseille d’exploiter au mieux ses capacités physiques. Lukaku, puissant et rapide, se crée plusieurs occasions dangereuses, mais la défense italienne parvient à contenir la menace.
En milieu de première mi-temps, la Belgique commence à démontrer son jeu offensif. Henry, voyant l’équipe prendre de l’ampleur, encourage ses joueurs. Il leur demande d’utiliser plus souvent les ailes pour étirer la défense adverse. Cette décision commence à porter ses fruits : à la 30e minute, la Belgique crée plusieurs attaques dangereuses, et sur l’une d’elles, De Bruyne envoie le ballon sur l’aile à Thorgan Hazard, qui, après avoir dépassé le défenseur, effectue une passe dans la surface de réparation. Sous la pression, les Italiens commettent des fautes, ce qui donne une chance à la Belgique. Henry discute activement avec Martinez, abordant l’utilisation des coups de pied arrêtés. À la 35e minute, la Belgique obtient un coup franc dans la zone dangereuse. De Bruyne s’approche du ballon et toute l’équipe retient son souffle.
À chaque attaque, la tension monte. Henry continue de prodiguer des conseils aux joueurs, leur indiquant comment se positionner au mieux sur le terrain. Son expérience est précieuse dans une situation aussi critique. À la fin de la première mi-temps, la Belgique mène toujours. Lukaku, réceptionnant le ballon dans la surface de réparation, fait preuve de talent, se défaussant du défenseur et envoyant le ballon au fond des filets. Le stade entier explose de joie et Henry, les bras au ciel, se réjouit du succès de son équipe. En seconde période, les Italiens tentent de revenir au score. Ils changent de tactique et adoptent un style de jeu plus agressif. Henry et Martinez, observant les changements, décident de renforcer la défense en effectuant des remplacements. Cela permet à la Belgique de garder le contrôle du match, mais les Italiens ne se laissent pas abattre.
La Belgique est éliminée. L’Italie est 2-1. La défaite est une amère déception pour toute l’équipe, mais dans le vestiaire, Thierry Henry est l’un des rares à prendre la parole. Il ne cherche pas d’excuses, ne blâme ni les joueurs ni les arbitres. Il parle plutôt de fierté, d’expérience et du chemin qui reste à parcourir. Dans la salle, emplie d’émotions, Henry commence à évoquer l’importance de réaliser que l’équipe a fait tout son possible. Il rappelle aux joueurs le travail et les efforts qu’ils ont fournis pour se préparer au tournoi, et comment ils ont surmonté les difficultés pour atteindre le succès. Ses mots, empreints de sincérité, deviennent une source d’inspiration pour les joueurs qui, malgré la déception, commencent à comprendre que cette expérience est une étape importante de leur parcours.
Henry partage des anecdotes personnelles sur ses défaites sur la scène internationale, comment il a lui-même affronté des difficultés et comment chacune d’elles l’a rendu plus fort. Il souligne que dans le sport, comme dans la vie, il ne s’agit pas seulement de gagner, mais aussi de se relever. « Vous êtes tous des joueurs incroyables, et cette défaite ne vous définit pas », dit-il en regardant ses joueurs dans les yeux. Certains joueurs commencent à chuchoter entre eux, et l’ambiance dans le vestiaire change peu à peu. Henry aborde le sujet de l’esprit d’équipe, exhortant chacun à se rappeler qu’il n’est pas seul, que le soutien mutuel fait la force d’une équipe. Il évoque la façon dont ce tournoi les a rapprochés et que ce lien les accompagnera toujours. « Nous sommes une seule famille, et même dans les moments difficiles, nous devons rester ensemble », ajoute-t-il.